Comme si nous étions des animaux
(Ref. ED1300)Un playdoyer autour de l'antispécisme, expliquant notamment que les luttes pour l'égalité incluent aussi la défense des animaux.
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Loin d’être envisagé comme un projet politique crédible, l’antispécisme est caricaturé et ceux qui s’en réclament font souvent face à l’accusation d’antihumanisme. Réjane Sénac, directrice de recherche CNRS au CEVIPOF, le Centre de recherches politiques de Sciences Po où elle enseigne, va à contre-courant de ces critiques et interroge notre conception de l’animalité. Son plaidoyer montre en quoi l’antispécisme met à l’épreuve notre rapport au « qui » et à « ce qui » est politique en bousculant le principe d’égalité.
Réjane Sénac rappelle combien les animaux non-humains doivent être considérés comme des acteurs à part entière de la communauté politique. Elle pose ainsi la nécessité du dépassement des classifications créant une discontinuité et une hiérarchie radicales entre animaux humains et animaux non-humains. Cette prise en considération des interdépendances nécessite donc une refondation du contrat social. Cela ne peut rester non plus sans effet sur les combats pour l’égalité. Ce sont toutes les luttes contre les discriminations qui ont y à gagner.
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Date de parution 05/04/2024 Nombre de pages 60 Auteur(s) Réjane Sénac
Biographie Auteur(s) Réjane Sénac est directrice de recherche CNRS au CEVIPOF, le Centre de recherches politiques de Sciences Po où elle enseigne. Elle a été présidente de la commission parité du Haut Conseil à l’Egalité femmes-hommes de 2013 à 2019. Elle a notamment publié L’égalité sans condition. Osons nous imaginer et être semblables (Rue de l’Echiquier, 2019) et Radicales et fluides. Les mobilisations contemporaines (Presses de Sciences Po, 2021).
Dimensions l.12,5 x H.17 cm Poids net 78 g Pays de fabrication France
Loin d’être envisagé comme un projet politique crédible, l’antispécisme est caricaturé et ceux qui s’en réclament font souvent face à l’accusation d’antihumanisme. Réjane Sénac, directrice de recherche CNRS au CEVIPOF, le Centre de recherches politiques de Sciences Po où elle enseigne, va à contre-courant de ces critiques et interroge notre conception de l’animalité. Son plaidoyer montre en quoi l’antispécisme met à l’épreuve notre rapport au « qui » et à « ce qui » est politique en bousculant le principe d’égalité.
Réjane Sénac rappelle combien les animaux non-humains doivent être considérés comme des acteurs à part entière de la communauté politique. Elle pose ainsi la nécessité du dépassement des classifications créant une discontinuité et une hiérarchie radicales entre animaux humains et animaux non-humains. Cette prise en considération des interdépendances nécessite donc une refondation du contrat social. Cela ne peut rester non plus sans effet sur les combats pour l’égalité. Ce sont toutes les luttes contre les discriminations qui ont y à gagner.
Date de parution | 05/04/2024 |
Nombre de pages | 60 |
Auteur(s) |
Réjane Sénac |
Biographie Auteur(s) |
Réjane Sénac est directrice de recherche CNRS au CEVIPOF, le Centre de recherches politiques de Sciences Po où elle enseigne. Elle a été présidente de la commission parité du Haut Conseil à l’Egalité femmes-hommes de 2013 à 2019. Elle a notamment publié L’égalité sans condition. Osons nous imaginer et être semblables (Rue de l’Echiquier, 2019) et Radicales et fluides. Les mobilisations contemporaines (Presses de Sciences Po, 2021). |
Dimensions | l.12,5 x H.17 cm |
Poids net | 78 g |
Pays de fabrication | France |